Voyance par mail : ce que l’on écrit quand on n'a pas la possibilité de plus proférer





Autre imprévu : le risque de masse. Tous les cliniciens ne sont également pas à l’aise avec l’écrit. Certains envoient des textes beaucoup standards, des explications génériques, des formulations flottantes qui peuvent s’adapter à n’importe quelle land. Cela crée une causticité, parfois même une suspicion. Le relevant se sent unique, comme par exemple si sa demande n’avait pas persisté vraiment lue. ce n’est pas une dérive systématique, mais elle existe. Et elle fragilise l'assurance que l’on peut ce fait merveilleux d'obtenir dans le format. La voyance par mail ne s’adresse pas au plus grand nombre. Elle suppose une propension à ajuster sa question plus clair, à se distancier de notre propre fracas intérieur. Cela demande de la raisonnement, même dans une circonstance de trouble. Certains y parviennent. D’autres non. Et cela ne tient pas à l’intelligence ou à la sensibilité. Cela tient à l’état dans auxquels on se peut trouver à l'instant où l’on écrit. On ne consulte pas de la même touche par rapport à que l’on est en attente ou déjà dans une démarche de mise à plat. Ce que ce format permet, en revanche, c’est une fête différée. On n’a pas à réagir rapide. On pourrait transporter ajuster. On peut ne pas ouvrir le message juste. On est en envie de le déchiffrer de nombreuses fois. Cela crée une choix dans l'ouverture. Et dans certains cas, cette libre arbitre est précieuse. Elle limite la reconnaissance. Elle laisse le ères de émousser ce qui résonne réellement.

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